Et surtout mon alimentation !
Cet article participe à l’évènement interblogueur « Ce livre qui a changé ma vie” du blog mon-chemin-heureux.com de Julie Victor. Vous pouvez retrouver l’ensemble des articles écrits pour cet évènement ici.
Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler d’un livre qui a, certes, changé mon alimentation mais quelque part aussi ma vie. En effet, ce livre a été le premier que j’ai lu sur l’alimentation et il a changé ma vision sur la nourriture que nous absorbons. C’est son titre qui m’a interpellé en premier : “et si on arrêtait d’empoisonner nos enfants ?”. Je pensais donner une alimentation saine à mes enfants et en lisant ce livre, je me suis retrouvée face à une réalité que je ne soupçonnais pas.
Cela a été le début de recherches approfondies sur le sujet, de nombreuses lectures et d’une prise de conscience que la société diffuse des messages dictés par l’appât de l’argent et non par le souci de nous aider à être en bonne santé. Et c’est cette réflexion qui m’a amené à créer ce blog pour vous transmettre ce que j’ai appris et vous aider à être libre de vos choix dans votre alimentation.
Qui est Erwann Menthéour ?
Erwann Menthéour est journaliste et écrivain spécialisé dans le bien-être et la forme. Ancien coureur cycliste professionnel, il dénonce à travers ses livres le système du dopage puis se lance dans le coaching sportif et bien-être avec sa méthode Fitnext. Il écrit plusieurs livres dans lesquels il dénonce les risques pour notre santé des pratiques de certains lobbies de l’industrie agro-alimentaire.
Dans ce livre, il nous explique comment, nous, parents, influencés par les groupes industriels et les médias, nous mettons la santé de nos enfants en danger. Car en effet, pour la première fois, l’espérance de vie décroit. D’après un rapport démographique de l’INSEE publié en 2015, les décès sont en hausse et les naissances en baisse. Beaucoup de choses ont changés avec l’apparition des produits transformés, des OGM, du manque de traçabilité des produits bruts et de l’hyper-industrialisation de l’agriculture. Nous ne maîtrisons plus ce que nous consommons.
Ce livre est donc une mine de conseils et de moyens simples pour changer et redevenir maître de nos choix, libres et responsables. De plus, le psychologue Bernard Geberowicz donne pour chaque sujet des clés pour mieux communiquer avec les enfants.
Chapitre 1 : Un autre monde est possible
Erwann Menthéour met le doigt sur l’éducation de nos enfants. Pour lui, il est primordial que nos enfants soient éduqués pour être libre de penser, de faire leurs choix sans être influencés par la société et les médias. L’éducation que l’on donne à un enfant a une incidence sur lui-même mais aussi sur les générations futures car c’est ce qu’il enseignera à ses propres enfants. Et cela concerne aussi l’alimentation, avoir un bon fond nutritionnel est la base de l’alimentation. Cela permet d’avoir un bagage immunitaire pour lutter contre les agressions environnementales, alimentaires et magnétiques qui font partie de notre quotidien. L’alimentation ne peut pas être parfaite tout le temps, les enfants mangent à la cantine, mangent des bonbons lors des anniversaires, et c’est normal. Avec un fond solide et sain, nous les aidons à être plus fort et en bonne santé.
A privilégier :
- les produits d’origine biologique, sans pesticides
- les laits végétaux
- le calcium présent dans les brocolis, les épinards, la mâche et les crucifères, dans les fruits, les condiments, comme l’ail et l’oignon, et dans certains poissons, comme les sardines
- les produits bruts et authentiques
- le sport
- les activités manuelles et artistiques
- ne pas acheter ce que nous ne voulons pas que nos enfants mangent
A éviter :
- le tabac et le fait de fumer dans la même pièce que nos enfants
- la saturation de sucre : sodas, produits transformés, bonbons, plats préparés industriels, céréales industrielles du petit déjeuner
- les produits laitiers de vache
- les fast-foods
- les additifs alimentaires
Chapitre 2 : l’avenir d’une civilisation tient dans le ventre de ses enfants
Ce chapitre du livre nous explique le lien entre cerveau et intestin. On a longtemps pensé que le cerveau régissait tout mais les recherches ont permis de comprendre que le ventre était plus actif que lui. En effet, nos intestins contiennent un très grand nombre de neurones et communiquent en permanence avec notre cerveau.
Les intestins sont aussi le siège de notre système immunitaire qui se constitue entre 0 et 3 ans. Il est donc indispensable de fournir des bonnes bactéries à nos enfants pendant cette période. Cet écosystème intestinal permet également de transformer la nourriture en carburant pour construire le corps et le défendre. Un bon microbiote permet de fabriquer un antibiotique naturel.
Autre rôle : influencer les neurotransmetteurs, messages qui sont envoyés vers le cerveau pour réguler notre humeur, notre énergie et nos fonctions mentales.
A privilégier :
- les aliments non transformés : céréales complètes, quinoa, sarrasin, graines germées, sucres complexes et produits bio pour éviter les pesticides
- les herbes, le poisson, les œufs bio, le tempeh (soja fermenté), le pollen, le miel, la stévia et le sirop d’agave
- cuire à basse température, à la vapeur ou à l’étouffée
- les légumes verts à chaque repas
- les fruits en dehors des repas
- boire 1.5L d’eau par jour
- une portion de protéines animales par jour maximum
- l’huile d’olive de première pression à froid
- les condiments (ail, oignon…)
- les protéines à midi avec des légumes et les glucides le soir
- mastiquer et prendre son temps
- médicaments et antibiotiques uniquement quand cela est vraiment nécessaire
Chapitre 3 : main basse sur leurs assiettes, le grand hold-up du siècle
Hold-up parce que l’industrie a pris la main sur notre alimentation. Il y a de moins en moins d’agriculteurs (en cinquante ans, le pays a perdu plus de trois millions d’agriculteurs. Ils étaient quatre millions en 1963 ; il ne sont plus qu’environ 900.000 aujourd’hui.) et ce sont les petits producteurs qui disparaissent laissant la place aux productions industrielles utilisant les OGM et les pesticides.
Les industriels ont aussi rusé en introduisant du sucre partout. Sucre qui rend accro les petits comme les grands et qui a pour conséquence que huit maladies sur dix sont, aujourd’hui, induites par l’alimentation industrielle et la consommation de produits transformés.
Erwann Menthéour met aussi en garde contre le déséquilibre oméga 3 et oméga 6. Ces derniers sont majoritairement présents dans notre alimentation et sont à l’origine de nombreux symptômes inflammatoires comme les rhumes, les bronchites… A contrario des oméga 3, qui sont primordiaux pour le bon fonctionnement de notre cerveau, l’apprentissage et la concentration.
Autre invention des industriels : les alicaments. Ce sont tous les produits comme les yaourts aux probiotiques, les jus supervitaminés, les produits bons pour le cholestérol…Des études ont soi disant prouvées leurs bienfaits mais c’est sans compter les conflits d’intérêt car ces études sont la plupart du temps financés par les sociétés qui fabriquent les produits.
“ Nous ne sommes pas que des consommateurs, que des “Homo enonomicus”, nous sommes des acteurs qui savons faire des choix en pleine conscience.”
Chapitre 4 : Détournement de mineurs : le sucre en garde à vue !
La consommation de sucre est très récente en France, elle date du début du XXème siècle. C’est à ce moment là qu’il devient accessible à tous. Or, le sucre est une vraie drogue car il stimule les 3 centres du plaisir et que notre corps est flemmard. En effet, le sucre est le principal carburant de notre cerveau et quand nous mangeons des glucides simples, il n’y a pas besoin de transformation, du coup, le cerveau en redemande.
Les enfants sont particulièrement touchés par ça car ils sont la cible des lobbies de l’agro-industrie mais aussi parce qu’ils ne possèdent pas les capteurs nécessaires pour déclencher les mécanismes de compensation à l’arrivée du sucre. Ils sont donc capables d’en avaler 15 fois plus que les adultes.
On le sait maintenant, le sucre est à l’origine de plusieurs fléaux : le surpoids, le diabète, les cancers…
A retenir :
Nous n’avons pas besoin de sucre raffiné pour fonctionner !!!
Chapitre 5 : Dire toute la vérité sur le gluten, je le jure !
Le gluten est composé de 2 protéines que l’organisme a du mal à assimiler. Depuis l’industrialisation de l’alimentation, on en trouve partout et c’est cette surutilisation du gluten qui est à l’origine des intolérances.
Le gluten a pour conséquence un affaiblissement du système immunitaire qui n’arrive plus à défendre l’organisme entraînant des symptômes divers et variés allant des troubles digestifs jusqu’à des maladies comme la maladie de Crohn.
A privilégier :
- les farines complètes, non raffinées et bio
- achetez votre pain chez un artisan boulanger voire un paysan boulanger et demandez lui ce qu’il utilise comme farine
Chapitre 6 : Amis du lait, peut-être, mais pour la vie, non merci !
Le lait de vache n’est pas adapté à nos enfants. Il contient énormément d’hormones de croissance car le veau a besoin de grandir rapidement, il passe de 20 à 300 kilos en 6 mois ! Ces hormones de croissance ont pour effet d’accélérer le développement des cellules, les bonnes comme les mauvaises. Une étude récente a démontré que les intolérants au lactose sont moins touchés par le cancer. D’autre part, dans les élevages industriels, les vaches sont nourries au soja et au maïs, le lait contient alors, des antibiotiques, des OGM et des pesticides !
En ce qui concerne le calcium, on sait que celui provenant du lait animal est 2 fois moins bien absorbé que le calcium végétal. Et des études ont montré que le taux de fractures et d’ostéoporose est plus élevé dans les pays gros consommateurs de produits laitiers.
Par ailleurs, après l’âge de 4 ans, nous ne possédons plus l’enzyme qui sert à la digestion du lait. Nous ne devrions donc plus donner de lait aux enfants au delà de 4 ans.
A privilégier :
- les crucifères comme le brocoli, les épinards, la mâche, le chou vert cuit, le chou rouge cru
- certains fruits et les fruits à coque, telles que les noix du brésil et les amandes
- les condiments, comme les oignons rouges ou blancs, les échalotes ; la cannelle, le sésame et le cumin
- les eaux minérales à forte teneur en calcium
- les poissons type sardines, surtout si on mange aussi les arêtes que l’on peut facilement mixer.
- remplacer le lait de vache par les laits végétaux, le choix est multiple.
Chapitre 7 : les enfants malades de la viande, petits contes d’une folie ordinaire
Tout comme le lait, la viande d’élevage industriel contient des OGM, des pesticides, des antibiotiques et des hormones de croissance. On prend donc le risque de développer une antibio-résistance et de détruire le microbiote.
Nous ne sommes pas des carnivores et nous ne possédons pas l’enzyme nécessaire à la transformation de la viande. Elle stagne donc dans nos intestins où elle putréfie et dégage des substances toxiques pour notre organisme. Par ailleurs, elle affaiblit notre système immunitaire en acidifiant l’organisme.
“Les végétariens sont moins exposés aux maladies cardio-vasculaires, aux diabètes de type 2 et aux cancers.”
Sans vouloir devenir forcément végétarien, il est urgent pour la planète de diminuer notre consommation de viande, nous en mangeons 3 fois plus que nos grands parents. Et pour produire autant, il faut des élevages industriels dans lesquels les animaux vivent dans des conditions inadmissibles et sont une source de pollution énorme.
D’autant plus qu’il n’y pas de risques de carences si l’on supprime les produits carnés.
“L’OMS vient de classer la surconsommation de viande comme possiblement cancérigène.”
A privilégier :
- soja
- tofu
- tempeh
- seitan
- légumineuses (haricots, fèves, pois, lentilles, pois chiches et pois cassés)
- céréales (avoine, blé, boulgour, millet, orge, quinoa, seigle, riz)
- amandes
- graines (sésame, courge, lupin, tournesol)
- fromage (chèvre et brebis)
- œufs de poule
Chapitre 8 : Cancers tombés du ciel et autres joyeusetés
Quelques chiffres :
- environ 70% des cancers sont liés à des expositions environnementales : 30% à la pollution et 40% à l’alimentation
- Chaque année, 100.000 enfants meurent d’une maladie causée par l’environnement, ce qui représente environ un tiers des décès
- Depuis trente ans, les cancers touchant des enfants augmentent chaque année de 1.1%.
L’obésité est en forte augmentation ces dernières années. Un tiers de la population mondiale est obèse ! La pollution chimique en est une des causes car les polluants stimulent les tissus graisseux et s’y installent.
Les perturbateurs endocriniens ont des effets nocifs, en voici quelques exemples :
- infertilité masculine et féminine
- fausses couches
- endométriose
- puberté précoce
- dysfonction érectile
- atteintes du neurodéveloppement
- troubles immunitaires
On les trouve un peu partout, ce sont les phtalates, les polycarbonates dont le bisphénol A, les métaux lourds… Difficiles de les combattre mais l’on peut déjà commencer par :
A éviter :
- le javel
- les bombes aérosol et les bougies parfumées
- les détergents chimiques
- le plastique pour cuisiner
- les poêles anti-adhésives
- les insecticides
- le wifi la nuit
- limiter le smartphone
- le manque de curiosité quand on ne lit pas les étiquettes
Chapitre 9 : Manger bio : pourquoi, mais surtout comment ?
“Manger et consommer bio, c’est préserver les sols, les denrées, les gens qui nous nourrissent, le monde dans lequel nos enfants vont vivre et dans lequel grandiront leurs enfants.”
Commençons par faire la chasse aux additifs en lisant les étiquettes et en bannissant tout ce qui contient des ingrédients avec la lettre E. Il est aussi nécessaire de se méfier des fruits et légumes trop beaux, trop lisses et trop parfaits. Ces produits sont souvent colorés artificiellement pour les rendre plus appétissants.
Privilégions les petits producteurs, les associations de producteurs type AMAP, les circuits courts pour manger local et de saison.
Utilisons des produits naturels : le bois, le marbre, la pierre, le verre… Et pour le ménage : le vinaigre blanc, le bicarbonate de soude, le citron, le marc de café…
Et pour le budget, changeons notre mode de consommation : le budget mensuel des familles pour l’alimentation était de 40% en 1945, il est aujourd’hui de 8% alors que l’on consacre 18% à la voiture et 5% aux produits électroniques !
Consommer moins mais de meilleure qualité, c’est un choix !
Chapitre 10 : le sport en antidote à la surexposition numérique
Nous ne sommes pas des sédentaires, nous sommes faits pour bouger et pratiquer une activité physique au quotidien. Celle ci favorise la détoxification, c’est à dire l’élimination des déchets par les reins, le foie, les poumons, la peau et les intestins.
Elle est également importante pour favoriser le développement des capacités cognitives et agit positivement sur la mémoire, l’agilité cérébrale et la concentration. A l’instar des écrans qui perturbent le sommeil et ont une incidence négative sur la croissance cérébrale des enfants et leur attention.
Chapitre 11 : Les fondamentaux pour aller plus loin dans la pratique
Privilégiez une alimentation bio, préparer un repas sain, c’est un acte d’amour envers soi et ceux que l’on aime. C’est la base de la vie pour être en bonne santé et avoir le goût de la vie.
Mettez de la couleur dans les assiettes. Chaque couleur correspond à une famille d’anti-oxydants et à des teneurs en vitamines et minéraux différents. Et en plus, c’est ludique pour les enfants et plus appétissant.
Diminuez les produits carnés et faites entrer les protéines végétales dans vos assiettes.
Essayez les jus de fruits et légumes maison réalisés à l’aide d’un extracteur pour préserver les vitamines et les minéraux.
Conclusion du livre :
Ils me semblent importants que je vous transmette les mots d’Erwann Menthéour pour bien comprendre sa démarche.
“Je ne suis pas un gourou, et un exemple encore moins. Je pose des questions, je lance des alertes, j’amène les gens à s’interroger à leur tour, mais je suis comme la plupart d’entre vous. Doué pour guérir les autres, je suis moi-même un work in progress, en lutte contre mon héritage et ces maudits circuits imprimés où nous sommes programmés. […] Mon rapport à la consommation est fragile, paradoxal, contradictoire aussi. […] Si nous décidons maintenant, chacun et ensemble, de vivre autrement, de construire autre chose, nous donnerons la chance à nos enfants de pouvoir faire un monde à leur image, un monde plus beau et surtout bien vivant. Faisons le pour eux, mais aussi pour nous. Et soyons sûrs qu’alors ils le feront aussi pour leurs propres enfants.”
En quoi ce livre a changé ma vie :
Cela fait 3 ans que j’ai démarré ce processus et je n’ai pas tout changé ! C’est impossible de tout faire en même temps.
Le plus simple a été de changer ma manière de faire mes courses. J’achète mes fruits et légumes chez un maraîcher local, nous mangeons beaucoup moins de viandes et quand j’en achète, je suis attentive aux conditions d’élevage de l’animal. Pour cela, je suis cliente d’une « ruche qui dit oui » ou j’achète directement chez les petits producteurs. Pour le reste, j’ai banni les grandes surfaces où il y a, au final, trop de choix. Je vais donc dans les magasins bio ou les moyennes surfaces. Les tentations sont moins grandes, j’achète moins et je consomme mieux.
En ce qui concerne ce que je mets dans nos assiettes, il a été difficile pour les enfants de supprimer certaines choses comme le lait, les gâteaux… Ils sont grands, je leur ai expliqué pourquoi ces choix et ils se sont habitués même si ils y reviennent très vite quand l’occasion se présente !!!
Le plus compliqué, ce sont les écrans ! Il y a de nombreuses possibilités dans la maison et ils ont chacun leur téléphone et j’avoue ne pas avoir le courage de me battre au quotidien. Là aussi, ils connaissent les risques et ils sont à un âge où la prise de conscience doit venir d’eux.
Côté cosmétiques et produits ménagers, j’ai décidé de faire confiance à une marque particulière même si je sais que ce n’est pas parfait à 100%. Mais je n’ai pas l’envie, ni de temps à consacrer pour faire les produits moi-même. J’ai par contre banni le javel, les prises anti-moustiques et les désherbants.
Quels bénéfices a-t-on retiré de ce changement ?
Nous sommes plus en forme, moins fatigués. Je n’ai pas vu le médecin depuis longtemps car plus personne n’est malade. Pour moi, une bonne alimentation est devenue une priorité.
J’ai découvert de nouveaux aliments, comme la patate douce que je n’avais jamais cuisinée et que l’on adore ! A chaque saison, on apprécie de retrouver le goût et la saveur des légumes que l’on attend depuis longtemps. On se rend compte que de respecter les saisons permet d’apporter à notre corps ce dont il a besoin. Des fruits et légumes gorgés d’eau en été pour hydrater et des légumes racines en hiver pour résister au froid !
Un sentiment de fierté de participer, à mon échelle, à un monde meilleur en rémunérant les producteurs à leur juste valeur, en favorisant la culture saine et respectueuse de la nature. De belles rencontres, avec des gens passionnés par leur métier et qui méritent d’être reconnus et encouragés. Et nous sommes, en tant que consommateur, leur meilleure vitrine.
Le changement se fait petit à petit, surtout quand on vit en famille. Il est important d’expliquer, de discuter et d’être à l’écoute des points de vue de chacun. Je suis convaincue qu’il faut que nos enfants soient informés car c’est leur avenir qui est en jeu et celui de leurs enfants.
Qu’en pensez vous ? Etes vous prêt à changer votre alimentation ?
Si vous souhaitez aller plus loin, vous pouvez retrouver différents articles sur le blog :
Bravo pour cet article instructif’!
J.aime beaucoup le style « direct » de ton expression, ça rend la lecture vivante.
Merci pour ce partage, très inspirant.
Ton témoignage donne envie d’améliorer ma manière de me nourrir et de nourrir mes proches…avec plus de conscience.
Merci pour les compliments. Je suis ravie que cela t’inspire et te donne envie de prendre soin de toi et de tes proches !